Des biologistes de l'université de Stanford ont réussi à transformer, sans recourir à la moindre cellule souche, des cellules de peau d'embryons de souris et de souriceaux en neurones capables d'établir des connexions entre eux. Un exploit jugé impossible jusqu'ici. Si cette technique fonctionne aussi avec des cellules humaines, elle ouvrira une nouvelle voie dans la recherche contre les maladies neurodégénératives.
La Croix - 29/01/2010
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