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samedi 31 octobre 2009

Les médicaments polluent en masse tous les milieux aquatiques

Des études ont déjà montré la persistance des oestrogènes et des antibiotiques dans l'eau, mais le problème des autres résidus médicamenteux reste sous-estimé, alors que les stations d'épuration ne les éliminent qu'à hauteur de 10 à 90 %, selon leur composition. C'est ce qu'a récemment déclaré le Dr Joël Spiroux, généraliste à Rouen, lors du premier Congrès européen sur les pathologies environnementales. Son étude est, selon le Quotidien du médecin qui la relate, la première à avoir été réalisée à proximité immédiate d'un CHU et du centre anticancéreux de la ville.

Pendant trente jours consécutifs, le Dr Spiroux a recherché des traces de médicaments dans cinq lieux de prélèvement d'eau. Il a ainsi pu repérer au moins 27 molécules pharmaceutiques après passage dans les stations d'épuration. Parmi elles, il a retrouvé chaque jour 14 g d'acide valproïque (médicament contre l'épilepsie), 138 g de codéine (contre la douleur et la toux) et 212 grammes de tramadol (contre la douleur), mais aussi 1 g de platine, utilisé par le centre anticancéreux, et 10 g de gadolinium provenant des examens d'imagerie par résonance magnétique (IRM).

"Féminisation" des poissons de l'estuaire de la Seine...

Ce travail confirme que les stations d'épuration ne sont pas adaptées aux produits pharmaceutiques, que l'on retrouve par ailleurs en quantité non négligeable dans d'autres milieux aquatiques : la mer du Nord "s'enrichit" ainsi chaque année de 50 à 100 tonnes d'hypolémiants (contre les excès de graisses dans le sang), les lacs suisses contiennent en moyenne 19 kg de diclofénac (contre l'inflammation et la douleur) et le Rhin en charrie plusieurs kilos par jour...

Des études menées sur les poissons de l'estuaire de la Seine, de même que sur ceux des grands lacs canadiens, incitent à la prudence, ou au moins à la réflexion, précise le Quotidien du médecin . La "féminisation" des poissons de l'estuaire de la Seine, avec un déséquilibre important du sex ratio en faveur des femelles, l'apparition d'ovocytes dans les testicules des mâles et un nombre croissant de malformations, révèle l'ampleur des perturbations dont ils sont victimes, tandis que de l'autre côté de l'Atlantique, la proportion de bélugas du Saint-Laurent morts de cancer atteint 18 %. En outre, la bioaccumulation de substances, dont les hormones, chez certaines espèces, atteint des proportions spectaculaires : "Si vous mangez 300 g de moules de l'estuaire de la Seine, a expliqué le Pr François Leboulanger, écotoxicologue au Havre, vous avalez l'équivalent d'une pilule contraceptive."

Le Point.fr 22/10/2009

vendredi 30 octobre 2009

M comme Magie ou Médecine ?!...

Le venin de crapaud desséché est un remède de la médecine traditionnel chinoise connu pour ses vertus anti-tumorales. Des chercheurs américains ont obtenu des résultats thérapeutiques positifs, dans le cadre d'un essai clinique de phase I destiné à en estimer la tolérance chez des patients atteints de cancers du foie, des poumons ou du pancréas. Dans plusieurs cas, le huachansu a permis de ralentir l'évolution de la tumeur chez des patients ayant cessé toute chimiothérapie et radiothérapie depuis au moins trois semaines.

Le Quotidien du Pharmacien – 05/10/2009

jeudi 29 octobre 2009

Campagne massive de circoncision dans un township sud-africain

Au vu des études épidémiologiques françaises et américaines publiées ces cinq dernières années, le chercheur Bertran Auvert a lancé un programme ambitieux et sans précédent en Afrique du Sud pour encourager quelques 25 000 jeunes d'un township proche de Johannesburg à la circoncision, celle-ci étant un moyen avéré de limiter d'environ 60% le risque d'infection par le VIH, même si les causes de cette réduction du risque restent inexpliquées. Plusieurs hypothèses existent, mais elles doivent encore être scientifiquement démontrées. Dans le cadre de ce programme, un "Male Circoncision Center" a déjà procédé à 11 000 circoncision en huit mois. L'opération a obtenu fin 2008 un financement de €3,6 millions de l'ANRS. "On a fait le plus dur, on a montré qu'une campagne massive de circoncision était possible", se félicite aujourd'hui Bertran Auvert. "Mais il faut continuer à communiquer", ajoute-t-il. L'objectif des 25 000 circoncisions devrait être atteint courant 2010.

Libération – 19/10/2009

HIV : Essais préliminaires d'un vaccin contre le sida en Tanzanie

Un vaccin contre le virus du sida testé en Tanzanie a montré des résultats positifs lors d'essais préliminaires et pourrait être plus efficace que le vaccin thaïlandais annoncé le 24 septembre dernier, ont déclaré des chercheurs suédois. "Nous pensons que notre vaccin pourrait assurer une protection allant jusqu'à 50%", a précisé la chercheuse Britta Wahren, professeur émérite à l'Institut Karolinska de Suède. "Notre vaccin inclut des souches plus diverses du virus – d'Europe, d'Afrique, des Etats-Unis et d'Asie – et assure ainsi une protection plus large", selon Britta Wahren. Le vaccin suédois, Hivis, a été testé sur soixante policiers bien portants en Tanzanie lors de la phase II de l'étude. Les chercheurs ont prouvé qu'il était sans danger et vérifié comment réagissait le système immunitaire du corps. Les résultats ont été si encourageants que l'équipe est prête à entreprendre la phase III, selon Britta Wahren.

AFP – 19/10/2009

De nouvelles armes contre le cancer de la prostate

Lors d'un symposium international organisé à Paris, de nouveaux traitements"locaux et peu agressifs" du cancer de la prostate ont été présentés. Ils présentent l'avantage d'éviter les séquelles des traitements classiques. Ils'agit des thérapies focales qui détruisent les tumeurs avec des "ultrasonsfocalisés de haute énergie", par le froid ou bien par "photothérapie dynamique". Cette dernière technique, mise au point à l'Institut Weizmann enIsraël, consiste à thromboser les vaisseaux et à asphyxier la tumeur grâce àune molécule photosensibilisante, dérivée de la chlorophylle, injectée enintraveineuse dans l'organisme. Éclairée par une fibre laser, elle génèreensuite des molécules instables dérivées de l'oxygène. D'après le Pr. ArnaudVillers, du CHU de Lille, il s'agit d'un "traitement simple, qui n'induitpas de séquelles urinaires et sexuelles, et qui présente l'avantage d'êtrerenouvelable". 20% des cancers de la prostate pourraient être ainsi traitésselon le professeur Pascal Rischmann, président de l'Association Française d'Urologie.


Le Figaro - 27/10/09

mercredi 28 octobre 2009

Retour sur la pandémie grippale de 1957

"La Tribune" revient sur la pandémie grippale de 1957. Elle a fait 2 à 3 millions de morts dans le monde et 100 000 en France, soit vingt à trente fois plus qu'une grippe saisonnière classique. Les victimes étaient principalement de jeunes adultes, des enfants et des femmes enceintes. Au total, durant le rigoureux hiver 1957-1958, la France a compté 9 millions de malades. Luc Hessel, directeur des Affaires médicales et publiques chez sanofi pasteur MSD et spécialiste des politiques de vaccination, a observé l'évolution des médias à l'époque, qui ont commencé par ne pas évaluer le danger, avant d'alarmer la population. Cette pandémie était de type H2N2 et non H1N1. Les scientifiques de l'époque le comprendront trop tard pour élaborer un vaccin efficace. Claude Hannoun, auteur de "La grippe, ennemi intime", indique à ce sujet : "Le vaccin ne fonctionnait pas car il n'était tout simplement pas adapté au nouveau virus. Un peu comme si, aujourd'hui, on se vaccinait avec le vaccin contre la grippe saisonnière en pensant se protéger du H1N1". Du coup, la première pandémie moderne s'est éteintenaturellement. "Les vagues de pandémie finissent toujours par s'atténuerspontanément", assure Luc Hessel, "les répliques ont été de moins en moins importantes d'année en année, au fur et à mesure que l'immunité augmentait dans la population".

La Tribune - 22/10/2009

mardi 27 octobre 2009

6 idées reçues sur les fruits

1) On peut manger du melon à volonté : Faux
Contrairement aux idées reçues, le melon ce n'est pas que l'eau ! Mais aussi du sucre ! Environ 6% à 14% de glucides.

2) Les cures de fruits font maigrir : Faux
Le peu de poids que vous réussirez à perdre se fera au détriment de votre masse musculaire. Attention aux médiatiques régimes fructivores qui favorisent une reprise de poids conséquente et à la fatigue engendrée par ce genre d'alimentation.

3) Manger des fruits protège du cancer du côlon : Vrai
Les fruits consommés régulièrement peuvent réduire les risques de cancer du côlon. En effet, les fibres des fruits accélèrent le transit intestinal et stimulent la production de certains acides gras qui ont des effets anti-tumoraux sur la muqueuse du côlon.

4) Le pamplemousse fait maigrir : Faux
Si ce fruit est très peu sucré (9% de glucides), il ne faut pas croire que son acidité naturelle élimine les graisses. Attention, ce fruit peut interférer dans l'action de certains médicaments. Dont les tranquillisants, les antidépresseurs et les immunodépresseurs.

5) L'ananas fait maigrir et brûle les graisses : Faux
L'ananas est peu énergétique, 47 calories pour 100 g et 11,3 g de glucides, mais en aucun cas il ne brûle les graisses ! La seule manière de perdre du poids est d'avoir une alimentation équilibrée et de se dépenser.

6) Le raisin est très sucré : Vrai
Le raisin compte 13 g à 16 g de glucides pour 100 g. Un tiers de plus que la moyenne des autres fruits. En revanche, le raisin est un excellent antioxydant.

lundi 26 octobre 2009

Grippe A - La vaccination des militaires allemands fait parler d'elle !

De hauts fonctionnaires et militaires allemands auraient bénéficié d’un vaccin H1N1 sans djuvant, normalement réservé aux femmes enceintes et aux personnes immunodéprimées. La nouvelle fait scandale outre-Rhin, alors que la campagne de vaccination nationale doit commencer le 26 octobre, avec des vaccins adjuvantés.

Les Echos – 23/10/2009

Grippe A et dépistage...

Les particuliers sont de plus en plus nombreux à solliciter les Groupes Régionaux d'Observation de la Grippe pour des dépistages de la grippe A (auxquels sont habilités les praticiens membres des réseaux GROG). Le Dr. Anne Mosnier, coordinatrice des GROG, rappelle dans "Le Quotidien du Médecin" : "Nos 600 généralistes, comme le millier d'urgentistes qui participent à nos activités, sont là pour assurer la surveillance populationnelle de la grippe fondée sur leur activité médicale et en aucun cas pour effectuer des dépistages à la demande".

Le Quotidien du Médecin – 22/10/2009

Grippe A : les services de réanimation s'organisent

Une deuxième vague épidémique de grippe A semble s’amorcer en France. D’après l’évolution de l’épidémie en Australie, les experts s’attendent à ce que les services de soins intensifs français accueillent plus de 2 000 patients atteints de la forme grave du virus, entraînant des pneumopathies sévères. "Pour nous, ce n’est pas de la science-fiction, les cas sévères ont commencé. Ils seront peu nombreux mais nécessiteront une lourde prise en charge", prévient le Pr. Pierre Carli, chef du service de réanimation de l’hôpital Necker, également à la tête du Samu de Paris. 160 patients pourraient notamment avoir besoin d’une technique thérapeutique particulière : la circulation extracorporelle, qui aurait permis de sauver 80% des malades australiens ne répondant pas aux techniques habituelles de réanimation.

Le Figaro – 23/10/2009

FluMist : vaccin en spray nasal contre le virus de la grippe A

"Le Figaro" s'intéresse à FluMist, seul vaccin anti-H1N1 à être administré sous forme de spray nasal. Ce vaccin, autorisé aux Etats-Unis, où la vaccination a commencé au début du mois, est très populaire car il permet d'éviter l'injection par voie intramusculaire. Dans le programme de vaccination prévu par Washington, la part de FluMist, produit par MedImmune, représente 40 millions de doses, sur un total de 251 millions commandées. L'originalité de ce vaccin ne se borne pas à son mode d'administration par voie nasale. Contrairement à ses concurrents qui sont tous produits à partir de virus inactivés (tués), il est développé à partir de vaccins vivants atténués. Les autorités sanitaires européennes n'ont pas autorisé FluMist, en dépit de sa bonne acceptabilité. Les CDC ont aussi émis plusieurs restrictions pour son utilisation. C'est ainsi, par exemple, que les personnes en contact avec des personnes sévèrement immunodéprimées, le personnel médical par exemple, ne doivent pas être vaccinées par FluMist. Ils risquent en effet de communiquer la grippe aux patients. Outre-Atlantique, l'acceptabilité de ce vaccin tient au fait que, contrairement aux autres vaccins H1N1, il ne contient pas de thiomersal, un composé de mercure qui favorise la conservation.

Le Figaro – 20/10/2009

dimanche 25 octobre 2009

Changement climatique : quels impacts sur la santé ?

Mathilde Pascal, chargée d'étude au département santé et environnement de l'InVS, évoque, dans une interview accordée au magazine "Politis", ses travaux sur les impacts sanitaires du changement climatique. Cette problématique a pris de l'ampleur depuis deux ans, à la demande du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec). "L'influence du climat sur la santé fait consensus dans le milieu de la santé. Elle peut être directe, à travers les vagues de chaleur ou les inondations. Elle peut aussi être indirecte : le climat conditionne nos écosystèmes et nos modes de vie", résume Mathilde Pascal. Cette spécialiste s'attend à ce que le réchauffement climatique impacte profondément nos modes de vie. Les tempêtes et ouragans devraient devenir plus fréquents et plus intenses en France. La dengue "pourrait apparaître dans de nouveaux endroits".

Politis - 01/10/2009

samedi 24 octobre 2009

Cancer : identification d'un gène clé

"Le Figaro" rapporte que l'équipe du professeur Paul Edwards, de l'université de Cambridge, vient de découvrir un gène, baptisé NRG1 et localisé sur le chromosome 8, qui pourrait être un puissant suppresseur de tumeur et protéger l'organisme de la prolifération des cellules cancéreuses, notamment dans le cancer du sein. "Je crois que le NRG1 pourrait être la plus importante découverte en vingt ans d'un gène suppresseur de tumeur, car elle nous donne des informations vitales sur un nouveau mécanisme causant le cancer du sein", se félicite le Pr. Edwards. "C'est une belle étude, mais il n'y a pas encore de preuve définitive qu'un défaut du gène NRG1 est responsable de cancers", souligne Daniel Birnbaum, du centre de recherche en cancérologie de Marseille. "Il faut mener des études complémentaires chez l'animal, mais aussi dans une large population de femmes", ajoute le Dr. Marc Espié, cancérologue à l'hôpital Saint-Louis. Le gène NRG1 serait lié à plus de 50% des cancers du sein, et pourrait intervenir dans les cancers de la prostate, des ovaires, du côlon et de la vessie.

Le Figaro - 07/10/09

vendredi 23 octobre 2009

Détresses respiratoires et ventilation par membrane extracorporelle

Une nouvelle technique de ventilation utilisée en soins intensifs, l'oxygénation par membrane extracorporelle, semble donner de très bons résultats dans les cas les plus graves de aiguës dues au virus A(H1N1). Une étude réalisée dans l'hémisphère Sud montre une division par deux du taux de mortalité.

Le Quotidien du Médecin – 19/10/2009

Grippe H1N1 et complications...

Des radiologues de l'université du Michigan ont mis en évidence une atteinte broncho-alvéolaire extensive bilatérale des patients atteints de formes graves de la grippe A, avec SDRA (alors que la radiographie initiale est normale dans plus de la moitié des cas de H1N1). Plus étonnant, ils ont aussi mis en lumière, chez les patients atteints des formes graves de grippe A, un risque accru d'embolie pulmonaire qui n'a jamais été constaté avec la grippe saisonnière.

Le Quotidien du Médecin – 16/10/2009

H1N1 : une deuxième vague plus forte cet hiver

Les experts de l'Académie de médicine se sont réunis à Paris au sujet de la grippe A. D'après Bruno Lina, directeur du Centre national de référence de la grippe de Lyon, la première vague épidémique de septembre n'a pas été sévère, du fait notamment d'une météo plutôt clémente pour la saison, mais elle sera suivie par une autre vague hivernale, qui surviendra avant la fin de l'année. "Plus il fait froid, plus elle risque d'être forte. Une épidémie commençant début novembre fera deux fois plus de victimes qu'une épidémie qui a débuté en septembre", explique Bruno Lina. La Société Française de Médecine d'Urgence anticipe une contamination de 20% de la population d'ici quatre à huit semaines. Les experts de l'Académie de médecine ont par ailleurs appuyé l'idée d'une vaccination contre le H1N1. Selon eux, le vaccin n'entraîne que des effets indésirables minimes, et une seule dose suffit.

Aujourd'hui en France – 14/10/09

jeudi 22 octobre 2009

Découverte : Ethologie de la bactérie Escherichia coli

Des chercheurs américains de l'université de Duke viennent de découvrir que les membres d'une colonie d'Escherichia coli peuvent avoir des comportements différents voire opposés en réaction à un signal. Chaque bactérie semble posséder un circuit propre lui permettant d'interpréter le signal. Cette réaction, qualifiée de "bistable" par les chercheurs, pourrait bénéficier à la recherche en biologie synthétique, discipline qui modifie ou élabore ex-nihilo, "des organismes cellulaires capables de synthétiser des matériaux, des enzymes ou des protéines".

Les Echos - 05/10/2009

mercredi 21 octobre 2009

Prix Nobel de médecine 2009

Elizabeth Blackburn, Carol Greider et Jack Szostak, trois chercheurs américains, viennent de recevoir le prix Nobel de médecine 2009. Leurs travaux ont porté sur les télomères, des composés d'ADN qui se trouvent aux extrémités des chromosomes et qui raccourcissent au fil des divisions cellulaires. Ces chercheurs ont découvert une enzyme, la télomérase, capable de stopper ce raccourcissement et la mort de la cellule. La lutte contre le cancer et le vieillissement constituent deux champs d'application possibles de ces travaux.

Le Figaro – 06/10/2009

mardi 20 octobre 2009

La santé : des patients, des médecins et des laboratoires...

Les sites des laboratoires s'adressent aux médecins et aux patients. Un article du "Quotidien du Médecin" rend compte de l'évolution des sites Internet des laboratoires pharmaceutiques au fil des ans. Auparavant plus institutionnels, ces sites cherchent, depuis la fin des années 90, à s'adresser à un public bien défini : les médecins, voire de plus en plus les patients eux-mêmes. DocteurW.com, qui a été lancé par Wyeth il y a six ans, est un site qui propose différents services aux médecins (conseils pour l'organisation du cabinet, formations pratiques). Quelque 120 000 médecins sont adhérents au site Univadis, de MSD, qui propose des cours interactifs et un contenu informatif récent et de qualité. Certains sites commencent aussi à cibler le grand public, comme Macontraception.fr, lancé par Schering-Plough, ou encore Monespacehémophilie.com, que vient de mettre en place Baxter à destination des patients hémophiles.

Le Quotidien du Médecin - 02/10/09

lundi 19 octobre 2009

Chikungunya

Des anticorps contre le virus du Chikungunya, obtenus à partir du plasma de personnes ayant été infectées à la Réunion, se sont montrés efficaces pour traiter ou prévenir l'infection par ce virus dans un modèle de souris, ouvrant la voie à un traitement de cette maladie. L'Institut Pasteur, l'Inserm et le Laboratoire du Fractionnement et des Biotechnologies font état dans d'une étude conjointe qui a été publiée dans le "Journal of Infectious Diseases". Après l'épidémie qui a touché un tiers de la population du département de la Réunion en 2005-2006, l'Etablissement Français du Sang avait lancé une collecte de plasma de personnes ayant développé la maladie et qui avaient guéri, afin de purifier les anticorps développés par les patients et de voir s'ils pourraient être utilisés en traitement, comme immunothérapie. Les immunoglobulines anti-Chikungunya ont été produites à partir du sang prélevé, par le Laboratoire du Fractionnement et des Biotechnologies .

APM - 28/09/2009

dimanche 18 octobre 2009

Maladies infectieuses : Lancement d'un programme de recherche

La Fondation pour la recherche médicale lance un programme de recherche sur les maladies infectieuses émergentes. "Près de 350 nouvelles maladies infectieuses ont été recensées au cours des soixante dernières années. La majorité est d'origine animale", indique Philippe Sansonetti, coordinateur du programme et professeur au Collège de France. Les maladies infectieuses sont la cause de 12 millions de décès par an dans le monde, "dont les trois-quarts concernent des enfants", insiste-t-il. L'un des objectifs du programme est de mieux comprendre le franchissement d'espèce de ces maladies, qui pour les virus grippaux sont souvent d'origine aviaire. "Il faut une conjonction de facteurs pour déclencher une épidémie. Cela dépend notamment du germe, de la susceptibilité de l'espèce hôte ou du climat", indique Antoine Flahaut. Au sein de la même espèce, tous les individus n'ont pas la même sensibilité aux maladies infectieuses. "Nous cherchons à découvrir le dialogue moléculaire qui existe entre les virus et les cellules", explique Philippe Sansonetti. Pour la grippe A par exemple, "entre 30% et 50% des personnes infectées ne ressentent aucun symptôme et une petite partie va au tapis pendant deux ou trois jours", explique Antoine Flahaut. L'obésité massive (IMC supérieur à 40) est l'un des rares facteurs de risques au H1N1 clairement identifiés.

Les Echos - 28/09/2009

samedi 17 octobre 2009

Médicament : la France est-elle surconcommatrice ?

D'après les économistes de la santé du BIPE, qui ont réalisé une méta-analyse des données européennes de consommation des médicaments, la France n'est pas surconsommatrice de médicaments, contrairement à une idée reçue. Si l'Hexagone est bien champion d'Europe de la consommation d'anxiolytiques, antidépresseurs et antibiotiques, la Grande-Bretagne est la plus grosse consommatrice de statines et d'antiasthmatiques, l'Espagne d'IPP, et l'Allemagne d'IEC et de sartans.

Impact Médecine - 01/10/2009

vendredi 16 octobre 2009

Vers une médecine sur mesure

Les avancées de la génétique et de la biologie moléculaire permettent la mise au point de médicaments de plus en plus ciblés, particulièrement en oncologie, qui compte déjà aujourd'hui une trentaine de molécules de ce type. Dans la plupart des cas, elles sont le fruit de "processus de production biotechnologiques", indique "Les Echos". Le "revers de la médaille" est le coût de ces traitements, qui dépassent le plus souvent €50 000 par an et par patient. Grâce aux puces à ADN, il est par ailleurs possible de déceler différentes mutations génétiques déterminant une plus ou moins bonne réponse de l'organisme à certains médicaments. Des chercheurs de l'Institut Gustave Roussy viennent par exemple de découvrir une mutation spécifique du cancer du sein, qui serait la cause de la mauvaise réponse de certaines patientes à la chimiothérapie. Un test biologique en cours de développement devrait bientôt permettre de déterminer quelles sont les patientes porteuses de la mutation. "Les Echos" anticipe que dans quelques années, une forme de "médecine personnalisée" pourrait commencer à se généraliser du fait des prix de plus en plus abordables du décryptage du profil génétique des individus.

Les Echos – 01/10/2009

jeudi 15 octobre 2009

8 Françaises sur 10 seraient accros aux régimes

Un sondage réalisé par l'Institut Harris Interactive pour le magazine "Top Santé" indique que les Françaises ont une attention constante envers leur alimentation. Toutefois, si elles sont 83% à surveiller leur alimentation, elles ne sont que 30% à faire attention en permanence. Deux tiers des femmes craignent les contraintes liées au régime et 55% ne veulent pas renoncer à certains aliments comme le pain ou le chocolat. Les femmes interrogées avouent surtout faire attention à leur ligne avant l'été (92%), après les fêtes (89%), au retour de vacances (78%) ou avant un événement important (73%). Parmi les raisons de la prise de poids, le grignotage, le stress, la énopause et une alimentation peu équilibrée ou trop riche sont évoquées le plus souvent. Si les femmes veulent être plus minces, c'est d'abord pour se sentir bien dans leur corps et dans leur tête (86%), se plaire davantage (72%), mais aussi pour des raisons de santé (61%). Le souci de plaire est cité par 39% des femmes. Le régime ne doit surtout pas être synonyme de frustration : 43% veulent l'associer au plaisir. L'exercice physique est considéré comme un allié du régime par 93% des femmes interrogées.

mercredi 14 octobre 2009

Cancer du sein : 11 000 femmes décèdent en France chaque année

Pour la 16ème année consécutive en octobre, l'association "Le cancer du sein, parlons-en !" organise des événements sous le signe de la couleur rose. En France et dans le monde, lâchers de ballons, expositions photos, conférences et dépistages gratuits. Ce dimanche, une course organisée par Odyssea partira de l'esplanade du château de Vincennes. Elle s'étendra sur deux parcours, de 5 et 10 km selon le cas. Les bénéfices seront reversés à l'Institut de cancérologie Gustave Roussy (Villejuif), au profit de la recherche contre le cancer du sein. Cette campagne poursuit deux buts essentiels : convaincre les femmes de l'importance d'un dépistage précoce, et faire progresser la recherche. L'un des membres fondateurs de l'association, le magazine "Marie-Claire", interpelle publiquement le ministère de la Santé sur la nécessité d'avancer la date du premier dépistage gratuit. Actuellement, il est prévu une mammographie tous les 2 ans pour les femmes de 50 à 74 ans. Le magazine en demande 2 supplémentaires, à 40 et 45 ans. La population la plus à risque est en effet âgée de plus de 50 ans, mais 30% des cancers du sein se déclareraient plus tôt, et connaîtraient alors une évolution plus rapide.

mardi 13 octobre 2009

Best seller : Le français est un jeu - Chez LIBRIO

Le français est un jeu chez LIBRIO, collection dirigée par mon cousin Pierre Jaskarzec, est un BEST SELLER gràce à Vous ! Plus de 150000 Lecteurs HEUREUX ! :-)

Merci à tous les curieux, tous les joueurs et tous les passionnés de connaisances...

Un livre à partager sans modération !

Le français est un jeu

Or Taux Gras Feu & co...

200 questions piège pour améliorer son français.

Auteur Pierre Jaskarzec

Directeur de la Collection LIBRIO "...est un jeu"

Toute la collection "...est un jeu"


Présentation de l'éditeur

La série Mémo propose des ouvrages de référence inédits, complets et accessibles, pour apprendre, comprendre ou se perfectionner dans les grands domaines du savoir. Rédigés par des spécialistes, ils permettent de mémoriser les règles et formules essentielles... et parfois de s'amuser aussi ! Affûtez vos crayons ! Si vous aimez la langue française, ce livre est fait pour vous ! Un soupçon de mémoire, un zeste de raisonnement et une dose d'intuition : voici plus de 200 questions pièges classées par thème et destinées à améliorer vos connaissances. Des réponses claires, étayées de nombreux exemples et de citations littéraires, vous aideront à parfaire votre orthographe, à utiliser les constructions grammaticales adéquates, à user d'un mot avec précision. Ludique et instructif, Le français est un jeu est aussi un voyage à travers l'histoire des mots et des usages.

Biographie de l'auteur

Pierre Jaskarzec est éditeur d'ouvrages de référence et de livres pour la jeunesse et directeur de la collection "...est un jeu" chez LIBRIO.

lundi 12 octobre 2009

Manque de sommeil et maladie d'Alzheimer

Le manque de sommeil pourrait favoriser la maladie d'Alzheimer. La privation de sommeil favorise la formation de plaques amyloïdes dans un modèle murin de maladie d'Alzheimer, montre une étude américaine à paraître dans "Science", suggérant que les perturbations du sommeil pourraient exacerber les phénomènes neurodégénératifs. La maladie d'Alzheimer est caractérisée notamment par l'accumulation du peptide bêta-amyloïde (A-bêta) dans l'espace extracellulaire du cerveau. Pour comprendre la physiopathologie de cette maladie, il est important de décoder le métabolisme de ce peptide, indiquent Jae-Eun Kang de l'université de Washington à St Louis (Missouri) et ses collègues. Ils ont réalisé une microdialyse in vivo pour mesurer le taux du peptide A-bêta dans le cerveau de souris génétiquement modifiées pour reproduire la maladie d'Alzheimer et d'animaux sauvages, observant dans les deux cas que le taux augmentait la nuit lorsque les animaux étaient éveillés et baissait le jour lorsqu'ils dormaient principalement. Cette variation est retrouvée chez dix volontaires sains en bonne santé, avec cette fois une hausse du taux de l'A-bêta le jour et une baisse la nuit. Les chercheurs
montrent qu'une privation aiguë de sommeil entraîne une hausse du taux d'A-bêta. Ils obtiennent aussi une telle hausse avec la perfusion d'orexine, une protéine qui intervient dans la régulation des cycles du sommeil, et une baisse avec l'injection d'un antagoniste du récepteur de l'orexine, l'almorexant (ce composé développé par Actelion est actuellement en phase III dans le traitement de l'insomnie).

APM - 25/09/2009

dimanche 11 octobre 2009

Grippe A et origine ethnique

L'origine ethnique a été mise en avant par plusieurs autorités sanitaires dans le monde en tant que facteur de risque de complication de la grippe A(H1N1), selon une note d'information mise en ligne mercredi par l'InVS. L'incidence de l'infection semble plus élevée au sein des populations autochtones amérindiennes et océaniennes au Canada, en Nouvelle-Zélande, en Australie et dans les territoires français du Pacifique. Certaines de ces populations européennes, précise l'InVS.

APM - 02/09/2009

La médecine de demain sera personnalisée. La recherche progresse et l'on connaît aujourd'hui certaines différences, notamment génétiques, qui permettent de cibler les traitements de façon plus précise pour les nrendre plus efficaces.

samedi 10 octobre 2009

Rapport sur les AVC

Roselyne Bachelot présente en avant-première à "Aujourd'hui en France" un rapport sur les Accidents Vasculaires Cérébraux. La ministre précise au quotidien que les AVC, "méconnus du grand public mais aussi de certains professionnels", constituent la troisième cause de mortalité en France, et minutes qui suivent un AVC sont "primordiales", et que certains symptômes doivent alerter immédiatement les personnes qui les subissent ou leur entourage (sensation de paralysie d'un côté, perte de la vision, faiblesse brutale). Il faut alors composer le 15 sans tarder. Or aujourd'hui, seuls 50% des personnes victimes d'AVC le font. Sur le fond, le rapport présenté par le ministère de la Santé recommande un meilleur accès des malades aux traitements et aux unités spécialisées. La France comptait 77 Unités NeuroVasculaires (UNV) en 2008. "Notre objectif est d'en avoir 140 d'ici 2014", explique la ministre.

Aujourd'hui en France - 09/10/09

vendredi 9 octobre 2009

Pommes et maladies cardiovasculaires

1 pomme par jour pourrait faire faire chuter de 20% le risque de maladies cardiovasculaires, d'après les scientifiques. Pas étonnant que la pomme soit utilisée depuis 'Antiquité comme produit de beauté. Dans son livre intitulé "Une pomme par jour" (Leduc Editions), Anne Dufour affirme même qu'elle fait partie des 9 meilleurs aliments du monde et pour la Clinique américaine Mayo, elle reste la référence anticholestérol de nos potagers. De son côté, l'Afssa la classe parmi les 5 fruits antioxydants. En effet, ils sont nombreux à entrer dans sa composition : quercétine, procyanidine, catéchine, épichine. Ils attribuent en grande partie ce score à la présence de quercétine, un polyphénol anti-inflammatoire et antiallergique des plus puissants. Attention, cet antioxydant est surtout présent dans la peau des pommes, mieux vaut donc les manger lavées, mais pas épluchées. Comme l'ajoute Anne Dufour "croquer une, deux, voire trois pommes par jour, peut permettre de baisser son taux de cholestérol de façon très significative". Bien sûr, le résultat sera amélioré en consommant d'autres aliments anticholestérol tels que l'amande ou l'avoine.

jeudi 8 octobre 2009

Surveillance des effets indésirables du vaccin contre la grippe A

L'arrivée prochaine de vaccins contre la grippe pandémique A(H1N1) va conduire l'Afssaps à mettre en place un dispositif spécial de surveillance des effets indésirables. Au niveau européen, les AMM sont accompagnées de la demande aux laboratoires d'élaborer des plans de gestion des risques. Les fabricants doivent mettre en place des cohortes de 9 000 personnes vaccinées, de toutes les tranches d'âges. Mais ces cohortes ne comprendront pas nécessairement des patients de tous les pays et "pour les deux premiers vaccins, on sait déjà qu'elles ne seront pas mises en place en France", a indiqué Anne Castot, chef du service de l'évaluation, de la surveillance du risque et de l'information sur le médicament. C'est pourquoi l'Afssaps a voulu en plus "se donner les moyens d'avoir des données de pharmacovigilance les plus pertinentes" sur la population française. Outre le système de pharmacovigilance classique avec la déclaration des effets indésirables graves, des cohortes de patients vont donc aussi être mises en place. Les populations à risque seront ciblées. "Nous sommes en train de travailler à une cohorte multi-régions de femmes enceintes" pour voir l'effet de la vaccination. Et il est également question d'une cohorte d'enfants vaccinés. Enfin, un observatoire des personnes vaccinées dans le reste de la population sera également mis en place, avec une attention particulière au risque potentiel de syndrome de Guillain-Barré.

APM - 25/09/2009

mercredi 7 octobre 2009

Cette femme a montré ses seins, elle a sauvé sa vie !

Ruban rose contre Cancer du sein

Le dépistage du cancer du sein est "à la mode" en octobre. Pour la seizième année consécutive la campagne de lutte contre le cancer du sein est organisée par l'association "Le Cancer du Sein, Parlons-en!" et vous propose de lutter contre le cancer du sein en vous informant et en dialoguant.

Le Mois du Cancer du Sein est devenu un mois de rassemblement, de mobilisation de toutes les femmes du monde, pour faire reculer cette maladie si fréquente. Dans les pays économiquement développés, 1 femme sur 8 sera touchée par la maladie. Que pouvons-nous faire pour les protéger ?

Le Professeur Claude JASMIN, Cancérologue, Président du comité scientifique de "NRB -Vaincre le Cancer", membre fondateur de l'association "Le Cancer du Sein, Parlons-en !" et du jury scientifique des Prix Ruban Rose, nous présente les 3 pistes pur ce combat :

1 - Réunir toutes les femmes quels que soient leur âge et leur environnement socioculturel, leurs peurs, les interdits ou l'ignorance qui les éloignent du dépistage et permettre de détecter très précocement la maladie et obtenir ainsi sa guérison.

2 - Inscrire ce dépistage « au patrimoine culturel des femmes ». Il faut que les femmes apprennent tôt son importance et qu'elles transmettent le message à leurs proches et aux autres femmes (filles, amies…).

3 - Soutenir la recherche scientifique. Elle a pour objectif de comprendre comment se développe le cancer du sein pour pouvoir fabriquer des outils nouveaux qui permettront de repérer, précocement, les femmes les plus à risque de cancer afin de les protéger de cette maladie et de mieux les guérir si elle se développe.

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mardi 6 octobre 2009

Virus : Avancées de la recherche

Des chercheurs britanniques sont parvenus à décrypter les hémagglutinines des différents virus grippaux, ouvrant la voie à une étude des processus de mutation permettant à ces virus de se lier aux cellules humaines. "Notre étude pourrait aider à la lutte contre les pandémies en permettant de savoir quels virus aviaires possèdent une propension à se lier aux récepteurs humains", indique l'un d'entre eux.


Le Quotidien du Médecin - 01/10/2009

lundi 5 octobre 2009

Paysages sculptés...

Rizières en Chine...

dimanche 4 octobre 2009

Le vaccin H1N1 de Sanofi efficace dès une dose

Sanofi pasteur indique que "les résultats de l'analyse intermédiaire" des essais cliniques réalisés aux Etats-Unis sur son vaccin H1N1 "indiquent qu'une seule dose de 15 microgrammes du vaccin administrée aux adultes induit, vingt-et-un jours après la vaccination, une forte réponse anticorps considérée comme protectrice", même chez les personnes de plus de 65 ans. Ces essais cliniques américains ont été lancés en août et réalisés sur 849 adultes, divisés en deux groupes. L'un a reçu le vaccin, l'autre un placebo. Dans le premier groupe, trois semaines après l'injection de la première dose, 98% des participants de 18 à 64 ans, et 93% des plus de 65 ans, ont atteint des taux d'anticorps suffisants pour les protéger contre le virus. "Les résultats finaux de ces essais cliniques, après une seconde dose de vaccin, fourniront des informations complémentaires qui seront utiles pour définir les conditions optimales d'administration du vaccin, notamment en ce qui concerne le dosage, le nombre de doses et le schéma de vaccination", a précisé sanofi pasteur.

AFP, Reuters, Dow Jones Newswires - 01/10/2009

vendredi 2 octobre 2009

Rizières... Chine...

Tel un paysage naïf...

jeudi 1 octobre 2009

Campagne en faveur du dépistage du cancer du sein

L’édition 2009 de la campagne "Le cancer du sein, parlons-en" vient d’être lancée en France par l’INCa. Aujourd’hui, une mammographie prise en charge à 100% est proposée tous les deux ans aux femmes de plus de 50 ans. Mais avant cet âge, aucun examen de détection n'est prévu alors que 30% des cas sont enregistrés chez les moins de 50 ans. La campagne vise cette année une levée des différents blocages qui empêchent le dépistage. "Beaucoup de femmes font un peu la confusion entre dépistage et diagnostic précoce. Elles ne comprennent pas l’intérêt d’aller faire cet examen alors qu’elles sont en parfaite santé", explique Anne Ramon, directeur de l’information des publics à l’INCa. Les femmes d’origine étrangère ou appartenant à un milieu défavorisé sont plus particulièrement visées par cette campagne, à laquelle plusieurs actrices d’un feuilleton télévisuel français à succès ont participé.

La Croix – 24/09/09



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