Lorsqu'elle apparaît ouvertement, la violence, masquée par l'emprise, vient faire effraction dans le psychisme qui n'y était pas préparé puisqu'il était anesthésié par l'emprise. Il s'agit d'un processus impensable. Les victimes et les éventuels témoins ne peuvent pas croire ce qui se déroule sous leurs yeux, car, à moins d'être pervers soi-même, une telle violence sans aucune compassion est inimaginable. On tend à prêter à l'agresseur des sentiments (culpabilité, tristesse, remords) dont il est complètement dépourvu. Dans l'impossibilité de comprendre, la victime se retrouve sidérée, déniant la réalité de ce qu'elle n'est pas en mesure de voir. Cela n'a pas pu se passer, cela n'existe pas !
A suivre…
A suivre…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire