Accepter cette soumission ne se fait qu'au prix d'une tension intérieure importante, permettant de ne pas mécontenter l'autre, de le calmer quand il est énervé, de s'efforcer de ne pas réagir. Cette tension est génératrice de stress. Face à une situation stressante, l'organisme réagit en se mettant en état d'alerte, avec production de substances hormonales, dépression du système immunitaire et modification des neuro-transmetteurs cérébraux. Au départ, il s'agit d'un phénomène d'adaptation qui permet de faire face à une agression quelle qu'en soit l'origine. Lorsque le stress est ponctuel et que l'individu parvient à le gérer, tout rentre dans l'ordre rapidement. Si la situation se prolonge, ou se répète à intervalles rapprochés, déborde les capacités d'adaptation du sujet, l'activation des systèmes neuroendocriniens perdure. La persistance de taux élevés d'hormones d'adaptation entraîne des troubles qui sont susceptibles de s'installer d'une façon chronique.
Les premiers signes du stress sont, suivant l'individu, des palpitations, des sensations d'oppression, essoufflement, fatigue, troubles du sommeil, nervosité, irritabilité, maux de tête, troubles digestifs, douleurs abdominales, ainsi que des manifestations psychiques comme l'anxiété. La vulnérabilité au stress varie d'un sujet à l'autre. On a longtemps pensé qu'il s'agissait d'une donnée biologique génétique. On sait maintenant que cette fragilité peut s'acquérir progressivement lorsqu'un individu est confronté à des agressions chroniques. Néanmoins, les personnes de caractère impulsif sont plus sensibles au stress, alors que les pervers ne le sont absolument pas. Ils se défoulent en provoquant la souffrance de l'autre. Ce sont les seuls qui échappent à la névrose de guerre au retour de combats violents.
A suivre…
Les premiers signes du stress sont, suivant l'individu, des palpitations, des sensations d'oppression, essoufflement, fatigue, troubles du sommeil, nervosité, irritabilité, maux de tête, troubles digestifs, douleurs abdominales, ainsi que des manifestations psychiques comme l'anxiété. La vulnérabilité au stress varie d'un sujet à l'autre. On a longtemps pensé qu'il s'agissait d'une donnée biologique génétique. On sait maintenant que cette fragilité peut s'acquérir progressivement lorsqu'un individu est confronté à des agressions chroniques. Néanmoins, les personnes de caractère impulsif sont plus sensibles au stress, alors que les pervers ne le sont absolument pas. Ils se défoulent en provoquant la souffrance de l'autre. Ce sont les seuls qui échappent à la névrose de guerre au retour de combats violents.
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