Une équipe de chercheurs français a découvert un phénomène permettant d’expliquer pourquoi entre 50% et 75% des personnes atteintes par le chikungunya lors de l’épidémie de 2004-2005 ont souffert de douleurs articulaires persistant un an après la phase aiguë : le virus subsiste dans certaines cellules du système immunitaire, les macrophages, qui représentent ainsi "le principal réservoir cellulaire au cours des étapes tardives de l’infection par le CHIKV in vivo".
Le Monde – 01/03/2010
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