Bernard Werber, auteur de la trilogie des «fourmis», nous livre dans la revue «Euréka» le résultat d’une récente découverte : «ce n’est pas le spermatozoïde le plus rapide qui transmet ses gènes». C’est l’ovule qui choisit le spermatozoïde qui va le féconder. Il choisit le spermatozoïde porteur des gènes les plus différents des siens pour éviter les problèmes génétiques. C'est une lutte naturelle contre la consanguinité. L’avenir est aux couples complémentaires et non aux couples similaires. Une deuxième information nous est donnée : le spermatozoïde élu a besoin des autres spermatozoïdes pour pénétrer dans l’ovule car chacun libère les enzymes qui attaquent la coquille de l’ovule. Bernard Werber en tire deux conclusions.
La première est que seul on arrive à rien. La deuxième est que l'on s’enrichit en fréquentant ceux qui ne nous ressemblent pas.
A suivre...
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