L'Afssa vient de mettre en place un dispositif de vigilance concernant les compléments alimentaires. Il s'agit d'une première en Europe. Tous les symptômes apparaissant après l'ingestion de ce type de produits pourront désormais être signalés sur le site Internet de l'Afssa.
"Aujourd'hui en France" cite la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes, selon laquelle 12,5% de ces produits présentent des tromperies sur la composition, des allégations mensongères et des problèmes d'étiquetage. D'après l'Afssa, quelques "accidents aigus graves" ont été observés, mais il est "trop tôt pour être certain que les compléments alimentaires utilisés soient les uniques responsables". Le Syndicat de la diététique et des compléments alimentaires, représentant 80% du marché, assure de son côté que l'efficacité de ces produits est démontrée. Un cinquième de la population adulte utilise au moins une fois par an ce type de produits, souvent présenté comme "naturels" ou "à base de plantes". "Notre idée n'est pas de diaboliser les compléments alimentaires, mais d'informer la population que n'importe quelle substance ingérée peut être dangereuse", explique Marie Favrot, directrice de l'évaluation des risques nutritionnels et sanitaires de l'Afssa.
"Aujourd'hui en France" cite la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes, selon laquelle 12,5% de ces produits présentent des tromperies sur la composition, des allégations mensongères et des problèmes d'étiquetage. D'après l'Afssa, quelques "accidents aigus graves" ont été observés, mais il est "trop tôt pour être certain que les compléments alimentaires utilisés soient les uniques responsables". Le Syndicat de la diététique et des compléments alimentaires, représentant 80% du marché, assure de son côté que l'efficacité de ces produits est démontrée. Un cinquième de la population adulte utilise au moins une fois par an ce type de produits, souvent présenté comme "naturels" ou "à base de plantes". "Notre idée n'est pas de diaboliser les compléments alimentaires, mais d'informer la population que n'importe quelle substance ingérée peut être dangereuse", explique Marie Favrot, directrice de l'évaluation des risques nutritionnels et sanitaires de l'Afssa.
Aujourd'hui en France - 30/10/09
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