Que ce soit dans les familles ou dans les entreprises, les victimes réclament rarement vengeance. Elles demandent avant tout la reconnaissance de ce qu'elles ont enduré, même s'il n'est jamais possible de réparer complètement une injustice. Dans l'entreprise, cette réparation passe par un dédommagement financier qui ne peut de toute façon compenser la souffrance endurée. D'un agresseur réellement pervers, il est inutile d'attendre remords ou regret. La souffrance des autres n'a aucune importance. S'il y a repentance, cela vient de l'entourage, de ceux qui ont été des témoins muets ou des complices. Eux seuls peuvent exprimer leurs regrets et par là même redonner sa dignité à la personne qui a été injustement bafouée.
A suivre…
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