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vendredi 31 juillet 2009

Variations génétiques et schizophrénie : un lien confirmé

Trois études publiées dans la revue "Nature" confirment l’importance centrale de facteurs génétiques dans au moins un tiers des cas de schizophrénie. La première étude a permis d’identifier, en comparant un groupe de malades à un groupe témoin, quelque 30 000 variations génétiques étant nettement plus fréquentes chez les personnes atteintes de la maladie. "Individuellement, ces variations courantes n’entraînent pas de différences significatives, mais, cumulées, elles jouent un rôle majeur et comptent pour au moins un tiers – et probablement plus – du risque de développer la maladie", commente l’un des auteurs. Une deuxième étude a permis d’identifier 450 variations, intervenant dans les zones des chromosomes 6 (qui porte des gènes liés à l’immunité et aux infections) et 22, comme étant les plus fortement associées à la schizophrénie. Cette découverte explique pourquoi certains facteurs environnementaux, comme des infections, peuvent jouer un rôle de déclencheur. La troisième étude a repéré un lien entre la maladie et des variations intervenant sur les chromosomes 11 et 18, permettant d’expliquer les troubles de la concentration et de la mémoire qui peuvent caractériser la schizophrénie.

Le Figaro – 02/07/09

jeudi 30 juillet 2009

Cancer du sein "tripple négatif" : un nouveau traitement entre en phase de tests

"Sanofi-aventis a annoncé l’entrée en tests cliniques de phase III d'un nouveau composé, actif dans le traitement du cancer du sein métastatique triple négatif. La précédente phase de tests avait donné des résultats exceptionnels. Cette phase III aura pour finalité de déterminer l’amélioration de la survie sans progression et de la survie globale. Elle poursuit également l’objectif secondaire d’évaluer le taux de réduction tumorale et la tolérance au traitement."

Boursorama.com – 17/07/09

"Triple négatif" signifie que la tumeur n’exprime ni oestrogènes, ni progestérone et ne surexprime pas non plus le récepteur HER2. Ce qui signifie que les traitements actuels sont sans effet. Ce nouveau traitement a une action sur une enzyme intervenant dans la réparation de l’ADN.

mercredi 29 juillet 2009

La saison 6 de Dr House

Faut bien se détendre un peu !... :-)

La bande-annonce de la saison 6 de Dr House qui débutera en septembre sur la Fox fait un malheur sur le net !!

mardi 28 juillet 2009

Cancer et alimentation - Les découvertes de Richard Beliveau et son équipe

"Le mode de vie des individus joue un rôle prépondérant sur les risques de développer un cancer. Environ le tiers des cancers sont directement reliés à la nature du régime alimentaire. Une alimentation diversifiée, riche en fruits et légumes, couplée au contrôle de l'apport calorique de façon à éviter l'excès de poids constitue une façon simple et efficace de réduire significativement les risques d'être touchés par le cancer."

Extrait de l’ouvrage de Dr Richard Béliveau et Dr Denis Gingras intitulé « Les Aliments contre le cancer. La prévention du cancer par l’alimentation »
Cela implique que nous avons le « pouvoir » de diminuer les risques de cancer en choisissant les bons aliments.

De nombreuses informations sur le site :
http://www.richardbeliveau.org

Ce site regorge d'informations de qualité sur la prévention du cancer par une alimentation saine que l’équipe de recherche met à notre disposition gratuitement. Ces informations ont été produites par le Dr Richard Béliveau et son équipe de chercheurs après plusieurs années d'efforts acharnés.

Le Docteur Richard Béliveau, titulaire d'un doctorat en biochimie, est directeur du laboratoire de Médecine Moléculaire, chercheur au service de neurochirurgie de l'Hôpital Notre-Dame (CHUM) et titulaire de la Chaire de Neurochirurgie Claude-Bertrand. Il est professeur titulaire de biochimie à l'Université du Québec à Montréal où il est titulaire de la Chaire en Prévention et Traitement du Cancer. Il est professeur de chirurgie et professeur de physiologie à la faculté de médecine de l'Université de Montréal. Il est également chercheur associé au Centre de Prévention du Cancer du département d'oncologie de l'Université McGill. Il est aussi membre du Groupe de Thérapie Expérimentale du Cancer de l'Hôpital Général Juif de Montréal. Il est également membre de la Coalition priorité cancer au Québec. Il est l'auteur de plus de 240 publications dans des revues médicales à l'échelle internationale. Ses thèmes de recherche sont la prévention et le traitement du cancer. Il est auteur des Best-sellers « Les aliments contre le cancer », « Cuisiner avec les aliments contre le cancer » et « La santé par le plaisir de bien manger ». Il est lauréat du grand prix public 2006 du Salon du livre de Montréal, de la Personnalité de l'année 2006 du magazine l'Actualité et Personnalité du Québec du magazine Au Québec 2007.
Merci à toute l'équipe !!!

lundi 27 juillet 2009

Plantain

Surpris en plein coeur de la Bourgogne ! :-)

dimanche 26 juillet 2009

Cancer de l'ovaire et THS

Le risque de cancer de l'ovaire est augmenté de la même façon pour toutes les formes de Traitement Hormono Substitutif (THS), quels que soient les voies d'administration, la durée et le dosage, selon une grande étude épidémiologique danoise. Des méta-analyses de données publiées ont déjà montré une élévation d'environ 30% du risque de cancer de l'ovaire, mais alors qu'elles suggéraient un risque plus élevé pour les estrogènes seuls que pour les combinaisons estroprogestatives et pour les traitements cycliques par rapport aux continus, la "Million Women Study" ne montrait pas de différence, rappellent Lina Steinrud Morch de l'université de Copenhague et ses collègues. Des incertitudes persistaient donc. De plus, on n'avait pas de données jusqu'à présent sur les formulations vaginales et transdermiques par rapport aux formulations orales. Pour clarifier ces questions, les chercheurs ont conduit une étude nationale basée sur les registres danois pour évaluer le risque de cancer de l'ovaire en fonction des THS, chez toutes les femmes de 50 à 79 ans suivies durant huit ans en moyenne.

samedi 25 juillet 2009

Produits agricoles et pesticides

45% des produits agricoles européens présentent des résidus de pesticides. L'Union européenne a publié les résultats de son étude visant à déterminer quels pesticides sont présents, et en quelle quantité, dans les fruits, légumes et céréales issus de l'agriculture européenne. Cette étude menée par l'Agence européenne de sécurité alimentaire a permis d'évaluer la présence de pesticides dans les produits de l'agriculture, mais aussi leur Limite Maximale Résiduelle (LMR). Si 45% des produits présentent des traces de pesticides, 96% d'entre eux ne dépassent pas la limite tolérée. L'étude a été menée dans les 27 pays de l'Union européenne, sur 74 305 échantillons de plus de 350 produits différents, dont 72 variétés de céréales. ¼ de ces marchandises présente plusieurs molécules issues des produits phytosanitaires, alors qu'en 1999, on ne détectait la présence de différents pesticides que sur 15% des denrées analysées. Rien qu'en France, plus de la moitié des échantillons étudiés présentent des traces de pesticides et 8,54% d'entre eux dépassent la LMR.

vendredi 24 juillet 2009

Cancer du poumon : un vaccin thérapeutique en bonne voie

Stimuvax, le vaccin thérapeutique de Merck-Serono contre le cancer du poumon, a été testé avec succès chez des patients atteints d’un cancer non à petite cellules sans métastase mais au pronostic très réservé. Stimuvax "s’administre chez des patients non opérables, préalablement traités par radio-chimiothérapie et chez qui il s’agit de stimuler le système immunitaire afin qu’il reconnaisse ses propres cellules cancéreuses pour les supprimer", explique le Pr. Maurice Pérol, responsable de l’unité d’oncologie thoracique du CHU de Lyon. Le vaccin, qui repose sur la protéine MUC 1, surexprimée dans ce type de tumeurs, a permis une survie de deux à huit ans de ces patients. Un essai clinique de phase III baptisé Start vient d’être lancé sur mille patients dans plusieurs pays dont la France.

Sciences & Avenir – 01/07/09

jeudi 23 juillet 2009

6 mn pour que l'alcool monte à la tête

Une nouvelle étude a cherché à démontrer les changements se manifestant dans notre cerveau lorsque nous consommons de l'alcool, et à identifier le temps de réaction de nos cellules. Pour la première fois, les chercheurs ont prouvé les rapides changements que l'alcool pouvait causer sur les cellules du cerveau de l'Homme. Les chercheurs du Heidelberg University Hospital en Allemagne, affirment qu'il est déjà reconnu que le cerveau réagit très rapidement à l'alcool, mais qu'ils souhaitaient identifier plus précisément ce temps de réaction. Pour cela, 8 hommes et 7 femmes volontaires ont participé à une expérience. Ils ont bu une quantité déterminée d'alcool grâce à une longue paille de 90 cm, tout en étant allongés sous un scanner pour une IRM du cerveau. Le but était d'atteindre un taux d'alcoolémie de 0,05% à 0,06%, taux qui empêche de conduire mais ne provoque pas d'intoxication sévère. Les changements dans les cellules du cerveau surviennent seulement 6 mn après avoir consommé une quantité d'alcool équivalant à 3 verres de bière ou 2 verres de vin.

mercredi 22 juillet 2009

Grippe A et méningites

La pandémie grippale pourrait être à l'origine d'une hausse des infections invasives à méningocoques, a indiqué le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), dans un avis consacré à la vaccination contre le méningocoque C. Cet avis préconise la vaccination systématique des nourrissons âgés de 12 à 24 mois avec une seule dose de vaccin conjugué contre le méningocoque C et l'extension de cette stratégie, durant la période initiale de mise en place, aux sujets âgés jusqu'à 24 ans révolus. Parmi les justifications à ces recommandations, figure la potentielle "association spatiotemporelle entre les infections invasives à méningocoques et la grippe" dans la perspective d'une pandémie grippale. "Cette association est un fait bien établi : les épidémies de grippe sont suivies, avec un décalage de quelques semaines, d'une augmentation de l'incidence des infections invasives à méningocoque avec une augmentation du pourcentage de purpura fulminans et de la létalité", précise le HCSP.

APM – 17/07/09

mardi 21 juillet 2009

Grippe A & Règles d'hygiène !

Nous nous sentons impuissants face à la progression fulgurante de la grippe A.

Cependant...

Voyons un peu ce que nous pouvons faire pour limiter son avancée.

On sait aujourd'hui, qu'une personne touchée par la grippe A est contagieuse 3 à 5 jours avant de présenter les premiers symptômes. Dès à présent, nous pouvons modifier nos habitudes en matière d'hygiène afin d'améliorer la prévention. Par exemple : se laver les mains plus soigneusement et encore plus souvent. La méthode pour bien se laver les mains est très importante car le savon seul ne suffit pas à éliminer les germes. C’est la combinaison du savonnage, du frottage, du rinçage et du séchage qui permet de se débarrasser des germes. Nous devons aussi sensibiliser et éduquer nos enfants à parfaire ces gestes, immédiatement !

Savez-vous qu'un des endroits les plus sales se trouve sous nos doigts ? Les claviers ! De mémoire, on compte environ 200 bactéries par cm2 sur nos claviers. Ils sont plus sales que la cuvette de nos WC. Par exemple, le fait de manger en utilisant l'ordinateur apporte la nourriture aux bactéries qui, du coup, prolifèrent encore davantage. Pensons à nettoyer nos claviers très souvent, surtout en cette période (pré-)pandémique ainsi que la plupart des objets du quotidien.

Consulter les informations et conseils au sujet de la grippe A...

La vie en collectivité, l’air confiné et la multiplication des déplacements des personnes et des transports de marchandises favorisent la transmission des virus et des maladies infectieuses respiratoires. Le respect des règles d’hygiène permet de limiter ces risques. En cas de pandémie, le respect de mesures d’hygiène élémentaires sera une règle indispensable pour limiter les risques de contamination…

Consulter l'article complet sur l'hygiène...

En cas de pandémie, la vie quotidienne se poursuivra avec néanmoins plusieurs aménagements, qu’il faut connaître. Les règles d’hygiènes essentielles seront à appliquer chez soi, mais aussi à l’extérieur du domicile et au travail. Vous trouverez là les règles à suivre pour se protéger au quotidien, les recommandations pour mieux vivre sans crainte ainsi que les dispositions prises par l’Etat (français) pour vous aider dans des circonstances pandémiques…

Consulter l'article complet sur les aménagements...


Dés que les premiers symptômes de la grippe se manifestent, il faut consulter un médecin. Il vous prescrira le traitement adéquat. Ici sont regroupées les informations qui ont trait à la maladie et qu’il faut connaître pour bien se soigner sans contaminer les autres.

Consulter l'article complet sur la maladie de la grippe A...

Soyons responsables et agissons ensemble !


C'est la somme de tous les efforts de chacun

qui limiteront les risques de contamination.

lundi 20 juillet 2009

Votre santé !

Un site à découvrir : celui de David Servan-Schreiber : http://www.guerir.fr/ pour « tout faire pour mieux guérir du cancer et le prévenir ».

Téléphone portable ? Eau potable du robinet ? Stress ? Environnement ? Ustensiles de cuisine : plastic, teflon ... ?

Quels sont les impacts sur notre santé ? Que sait-on aujourd’hui ?

Retrouvez les actualités, les recommandations, les enquêtes, les vidéos… sur le site http://www.guerir.fr/

Rejoignez la communauté de http://www.guerir.fr/. Posez vos questions. Tenez-vous informé grâce au blog, au forum, aux témoignages, aux conseils d’internautes…

Pour une meilleure qualité de vie !... Et une excellente santé.

dimanche 19 juillet 2009

Le Sterne en pleine action sur vos écrans !

La plupart des sternes rejoignent des eaux poissonneuses après la reproduction où elles forment de grandes troupes. Loin du rivage, les Sternes caugeks volent inlassablement, ponctuant leur quête de cris rauques. Dès qu'elles ont repéré un banc de petits poissons, elles se laissent tomber d'assez haut, plongeant à la verticale sur leurs proies, en disparaissant quelques instants sous l'eau dans une belle gerbe d'eau. Les sternes cherchent leur nourriture presque exclusivement en mer. Pêche au large, souvent trop loin du littoral pour être observée. Elle se nourrit de poissons pêchés après un piqué aérien.





Ils vivent sur les côtes marines, îlots rocheux, dunes, lagunes littorales pendant la nidification ; en mer le reste de l'année, rarement à l'intérieur des terres. Ils vivent en colonies denses sur les plages sableuses et les îles basses en eau salée ou saumâtre. Le nid est fait dans une excavation creusée dans le sable ou les galets par le couple puis garnie d'herbe. Il est construit parfois au bord des eaux de l'intérieur.

C'est une espèce migratrice. Visiteuse d'été dans le nord de l'Europe (fin mars-sept.), hiverne dans le sud de l'Europe et en Afrique. En France, elle hiverne en petit nombre sur la côte méditerranéenne et atlantique (régulièrement jusqu'en Normandie).

Le plus cocasse c’est qu’en rentrant de Touraine, j’ai trouvé des sternes péchant dans « mon » étang en région parisienne. Que se passe-t-il cette année pour que les sternes s’installent dans les terres ?... Rien de grave j'espère !

samedi 18 juillet 2009

Grippe A - Virus H1N1

Le virus de la grippe porcine se propage dans le monde à une vitesse "sans précédent" par rapport à d'autres épidémies, a averti vendredi 17 juillet l'Organisation mondiale de la santé (OMS). "Au cours des pandémies dans le passé, il a fallu plus de six mois aux virus grippaux pour se propager aussi largement que l'a fait le nouveau virus H1N1 en moins de six semaines", a relevé l'organisation dans une note publiée sur son site Internet.

Le grand nombre de contaminations en peu de temps "tient à une combinaison de facteurs", explique un porte-parole de l'OMS, Gregory Hartl. "Le virus se propage très efficacement d'homme à homme, y compris en l'absence de symptômes" chez un porteur de la maladie, précise-t-il. Interrogé sur la manière dont les politiques de vaccination peuvent être déterminées en l'absence de statistiques globales, M. Hartl a rappelé que selon l'OMS "le virus ne peut plus être arrêté et que tous les pays vont avoir besoin de vaccin". Virtuellement, les 6,8 milliards d'habitants de la planète sont susceptibles d'être contaminés, a-t-il affirmé.

Article complet dans le monde.fr du 18/07/2009.

Le sterne pèche à Tours (37)

Environ de la taille d'une Mouette rieuse mais en plus élancée, la Sterne caugek est aussi plus grande et plus claire que les Sternes pierregarin et arctique. C'est un oiseau gris clair très pâle dessus et blanc dessous (éventuellement à nuance vaguement rose crème). Elle porte un capuchon noir terminé par une crête plus ou moins dressée en huppe hirsute si elle est excitée. Elle a de courtes pattes noires, une courte queue blanche un peu fourchue et un long bec noir à bout jaune. Ses ailes anguleuses sont souvent bien écartées du corps et un peu abaissées. Les deux sexes sont identiques.

La Sterne caugek forme des colonies nidificatrices très denses sur les bancs de sable des rivages et des petites îles. Ces colonies peuvent compter plusieurs centaines de nids (jusqu'à 25 000 couples). Les oiseaux s'installent en groupes serrés, à moins de un mètre les uns des autres (nids parfois distants de 20 cm seulement). Parfois, les Sternes caugeks se fixent aux mêmes endroits que des espèces plus agressives, dont la présence éloigne les prédateurs. Dans sa reproduction, cette espèce est très instable, car elle peut nicher en nombre très important dans des territoires qu'elles n'avaient jamais occupés auparavant ou bien en disparaître sans raison apparente. Elle peut aussi abandonner son nid, lorsqu'elle a été dérangée à la colonie, même après plusieurs saisons de reproduction fructueuses. Depuis 1970, une colonie s'est établie sur un îlot du bassin d'Arcachon où, jusqu'alors, l'espèce n'avait niché qu'une fois. C'est aujourd'hui la plus grande colonie française. L'abondance variable de petits poissons dont elles se nourrissent, la présence de goélands nicheurs en nombre et le dérangement sont parmi les facteurs qui expliquent ces étonnantes fluctuations.

Photos prises au bord de la Loire à Tours début juillet 2009

Nom scientifique : Sterna sandvicensis
Famille : sternidés
Taille : 37 à 43 cm (dont filet 6-9 cm chez l'adulte)
Envergure : 98 à 105 cm
Poids : 210 à 260 grammes
Âge maximum : 24 ans
Période de nidification : mai-juin.
Nombre de couvaisons : une ponte.
Nombre d'œufs : 1 à 2 œufs blanchâtre à brun clair taché de gris et brun foncé.
Incubation : 21-24 jours, mâle et femelle.
Envol : à environ 35 jours, mâle et femelle.
Plumage juvénile : (3) mois.
Première nidification : à 3-4 ans

vendredi 17 juillet 2009

sanofi-aventis : 24/24 sur vos écrans !

www.sanofi-aventis.tv

Sanofi-aventis vous ouvre les portes de ses laboratoires de recherche et vous présente ses activités gràce à sa Web TV. Venez découvrir les métiers et les actions menées à travers le monde dans les rubriques Votre santé, Côté métiers, A travers le monde... et bien d'autres encore.

Avec près de 100 000 collaborateurs répartis dans plus de 100 pays, sanofi-aventis est le premier acteur de l’industrie pharmaceutique en Europe et quatrième mondial (base données IMS 2008). Sanofi-aventis est un groupe de santé mondiale au service du patient, engagé dans la recherche, le développement, la fabrication et la commercialisation de produits de santé. Pour en savoir plus : www.sanofi-aventis.com

jeudi 16 juillet 2009

Santé et pesticides

David Servan-Schreiber lance, aux côtés de Bernard Cressens, directeur scientifique du WWF, une campagne destinée à "alerter l’opinion sur la présence anormale de résidus de pesticides et nitrates dans nos rivières et nos nappes phréatiques". Concrètement, "lorsqu’on a une santé fragile et que l’on vit dans une région où l’eau du robinet dépasse régulièrement les normes acceptables en termes de nitrates et de pesticides, le mieux est de ne pas boire l’eau du robinet, surtout si l’on a le cancer", recommandent-ils.

Aujourd’hui en France – 23/06/09

mercredi 15 juillet 2009

Baclofène et sevrage alcoolique

Olivier Ameisen, cardiologue et auteur du livre "Le Dernier verre", dans lequel il raconte s’être sorti de la dépendance à l’alcool grâce au baclofène, un myorelaxant, essaie depuis de faire autoriser la molécule dans l’indication du sevrage alcoolique. Pour l’heure, l’Afssaps recommande de se limiter à l’indication d’origine, c’est-à-dire le soulagement de contractures musculaires douloureuses. Mais quelques médecins, dont le Dr. Renaud de Beaurepaire, chef du service de psychiatrie de l’hôpital Paul-Guiraud de Villejuif, sont passés outre ces recommandations pour traiter avec le baclofène, à raison de 150 mg par jour, une centaine de patients alcoolo-dépendants. Les effets seraient spectaculaires. La moitié de ces patients "ont arrêté de boire, je n’ai jamais vu de tels résultats dans l’histoire de la prise en charge de l’alcoolisme", assure le Dr. De Beaurepaire. Un essai clinique destiné à évaluer l’efficacité du baclofène dans cette indication, va bientôt commencer. Ce projet vient d’être retenu au titre du programme hospitalier de recherche clinique (PHRC). Mais la posologie prévue, de 90 mg par jour, serait selon le Dr. Ameisen, insuffisante au point de "vouer cet essai clinique à l’échec". Un avis que partage le Pr. Michel Detilleux, qui coordonnera l’essai. Il admet "un risque de résultat faussement négatif" du fait des doses utilisées, mais ajoute que "d’un point de vue méthodologique, il est prématuré de faire un essai plus complexe". Il faudrait selon lui envisager à terme une "posologie individualisée".

Le Monde – 02/07/09

mardi 14 juillet 2009

(mon) Hoya en fleurs

J'ai oublié son petit nom...

lundi 13 juillet 2009

Sevrage alcoolique - La recherche avance !

Des chercheurs européens ont identifié une hormone d’origine gastrique ayant un rôle central dans l’accoutumance à l’alcool. Il s’agit de la ghréline. Des essais ont permis de tester avec succès chez les rongeurs le recours à des antagonistes du récepteur de la ghréline. Ces conclusions ouvrent une voie de recherche pour les traitements destinés au sevrage alcoolique.
Le Quotidien du Médecin – 30/06/09

dimanche 12 juillet 2009

Grippe A et personnes vulnérables

Le Collège national des généralistes enseignants, à qui se joignent la Société de pathologie infectieuse et la Société française de lutte contre le sida, recommande une vaccination contre le pneumocoque des catégories de la population les plus vulnérables aux surinfections pulmonaires bactériennes (insuffisants respiratoires ou cardiaques, séropositifs…) en prévision d’une possible accentuation de la virulence de la grippe A à l’automne.

Aujourd’hui en France – 07/07/09

samedi 11 juillet 2009

Pamplemousse et médicaments

Un cas récemment rapporté par la revue "The Lancet" ravive les inquiétudes quant aux interactions constatées entre certains médicaments et le pamplemousse, sur lesquelles le grand public est encore mal informé. L’Afssaps confirme que le fruit, en accélérant l’absorption intestinale des médicaments en question, induit un effet de surdosage, et risque d’augmenter la gravité des effets indésirables. Les molécules anticholestérols, ayant notamment la simvastatine et l’atorvastatine pour principes actifs, ainsi que les immunodépresseurs, sont les deux catégories de médicaments concernés par ces interactions. L’Afssaps recommande d’éviter de consommer du pamplemousse dans les deux heures précédant la prise de l’un de ses médicaments, et conseille aux personnes sous traitement de boire moins d’un quart de litre de jus de pamplemousse par jour.


Aujourd’hui en France – 03/04/09

vendredi 10 juillet 2009

La caféine pour lutter contre Alzheimer

D'après une étude réalisée par le Pr. Gary Arendash (université de Floride), la caféine améliore la mémoire et réduit les lésions cérébrales chez des souris programmées génétiquement pour développer des déficits mémoriels mimant la maladie d'Alzheimer. À la fin de cette étude, l'autopsie des souris ayant consommé de la caféine a montré que leur cerveaux contenait deux fois moins de protéine béta-amyloïde que celles n'ayant pris que de l'eau. Des chercheurs estiment que la caféine pourrait réduire certains enzymes indispensables à la production de béta-amyloïde, ce qui permettrait de restaurer la mémoire. D'autres pensent qu'elle pourrait posséder un effet anti-inflammatoire diminuant ces plaques de protéines. Des essais cliniques concernant l'action de la caféine sur les premiers troubles d'Alzheimer chez l'homme sont planifiés.

Le Figaro – 07/07/09

jeudi 9 juillet 2009

VIH - du nouveau !

Une étude franco-canadienne a permis de découvrir que deux types de cellules T CD4 mémoire, à mémoire centrale et à mémoire transitoire, sont les réservoirs cellulaires du VIH étant responsables de la persistance de la virémie sous antirétroviraux. Rafick-Pierre Sékaly, qui a dirigé l’étude, estime que ces résultats "plaident en faveur d'une stratégie semblable à celle utilisée contre la leucémie : une chimiothérapie ciblée contre ces cellules en association à un traitement immunitaire".

Le Quotidien du Médecin – 23/06/09

(Merci Zed pour l'info... :-)

mercredi 8 juillet 2009

Mines d'argent de Melle



Le Blog des Bijoux reprend force et vigueur !!!

Découvrez les mystères des mines d'argent de Melle.

Orchidée in situ

Orchidée sauvage

mardi 7 juillet 2009

Des études confirment l’impact des pesticides sur la santé humaine

Les résultats de plusieurs études scientifiques convergent pour incriminer les pesticides dans le développement de certaines maladies. La plus récente d’entre elle, réalisée par une équipe de l’Inserm, vient de montrer que l’exposition à ces produits double chez les agriculteurs le risque de développer la maladie de Parkinson. L’InVS vient également de publier un rapport révélant que des traces de pesticides ont été décelées dans les urines de femmes enceintes bretonnes, parfois longtemps après leur exposition aux substances. "Plusieurs études ont clairement montré que l’utilisation par des femmes enceintes d’insecticides à la maison était associée à une augmentation du taux de leucémies chez l’enfant", ajoute Nicole Delépine, responsable de l’unité de cancérologie pédiatrique de l’hôpital de Garches. D’après l’Afsset, "les principaux effets sur la santé des résidus de pesticides concernent les cancers, les troubles de la reproduction et les maladies neurodégénératives".


Aujourd’hui en France – 18/06/09

dimanche 5 juillet 2009

Alzheimer pourrait se développer comme une maladie infectieuse

Une équipe de chercheurs européens dirigée par Markus Tolnay, de l’université de Bâle, émet l'hypothèse selon laquelle Alzheimer pourrait se transmettre comme une maladie infectieuse. Cette équipe a montré que l'injection, dans le cerveau de souris transgéniques saines, de tissu cérébral humain contenant la forme anormale de la protéine tau, provoquait la prolifération de lésions caractéristiques d'Alzheimer. Ce mécanisme rappelle celui du prion dans la maladie de Creutzfeld-Jakob, souligne "Le Monde". D'après Luc Buée, directeur de l'unité 837 de l’Inserm, il s'agit d'une "hypothèse séduisante" qui pourrait signifier que "la composante liée à la protéine tau occupe une part plus importante qu'on le croyait" et que "la protéine tau anormale a des effets plus graves lorsqu'elle sort du neurone". Le diagnostic de la maladie pourrait être facilité par le suivi de la protéine tau dans le liquide céphalo-rachidien, suggère ce chercheur.


Le Monde – 13/06/09